Termes littéraires employés [1]
[1]
Cf. MW, Dragonetti. Nous adoptons en général les termes proposés par
MW. L'examen des rimes se fait cependant à l'intérieur d'une même strophe,
contrairement à MW.
[2]
« ... les vers non césurés qui forment contraste avec les autres [...] La suppression de la coupe métrique régulière a évidemment
une valeur expressive ... ». O. Ducrot et T. Todorov, Dictionnaire encyclopédique des sciences du
langage (Paris, Editions du Seuil, 1972), p. 497. Il s'agit donc de la non-coïncidence entre la pause rythmique / métrique et la pause
prosodique.
[3]
Cf. Dragonetti, p. 493-4.
[4]
Terme proposé par D. Billy dans L’Architecture lyrique médiévale: analyse métrique et
modélisation des structures interstrophiques dans la poésie lyrique des troubadours et des trouvères
(Montpellier, Section française de l'Association international d'études occitanes, 1989).
[5]
Cf. Ducrot et Todorov, op. cit p. 242. Il est intéressant de
noter que selon Frédéric Deloffre, c'est Ronsard qui, dans la seconde
préface de la Franciade, a créé l'emploi du verbe enjamber au sens
de « prolonger au-delà du vers » d'après l'expression « enjamber deux marches à la
fois », tandis que le nom enjambement a été créé seulement au XVIIe
siècle (Le vers français [Paris, Soc. d'édition
d'enseignement supérieur, 1969], p. 120). La pratique était pourtant bien connue des trouvères.
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